Dans ma plus récente chronique pour le Journal de Montréal…
C’est dans une vente aux enchères du contenu d’un espace d’entreposage en défaut de paiement que John Maloof achète une boîte de négatif photographique. Tout se passe très vite, il ne peut même pas analyser leur contenu avant de faire sa mise. À la recherche d’images pour illustrer un livre sur l’histoire de Chicago qu’il prépare, il décide de faire un pari de 400 $, espérant y trouver quelques clichés uniques. C’est un pari qu’il ne regrettera pas.
La suite de l’incroyable histoire de Vivian Maier.
Une carte personnalisée sur Google Map combine mes passions du voyage et de la photographie. Lorsque je découvre un endroit que j’espère visiter un jour, j’y ajoute un marqueur. Deux sites Internet sont responsables de la quasi-totalité de ces repères.
Ma chronique mensuelle dans la version papier du Journal de Montréal est cette fois disponible sur le site Internet du Journal. La suite est ici.
Le monde de la photo est en crise. Les agences ferment. Les contributeurs aux banques d’images ne font parfois que quelques sous de redevance par licence vendue. C’est dans ces circonstances que deux entreprises pensaient avoir trouvé ce mois-ci une nouvelle technique pour faire de l’argent facile dans le domaine de la photo.
Elles s’y sont prises en ayant recours à trois étapes extrêmement simples.
- Elles ont utilisé une photographie sans l’autorisation de son auteur.
- Elles ont attendu que le photographe découvre la faute et exige les droits sur son oeuvre.
- En guise de représailles, elles ont poursuivi le photographe.
Malheureusement, ils n’avaient pas prévu la 4e étape: l’indignation générale de la communauté web des photographes.
La suite de ma chronique publiée ce matin dans la version papier du Journal de Montréal est disponible pour une trentaine de jours sur PressDisplay.
« Vous avez sûrement des photos de votre jeunesse et de celle de vos parents dans votre vieil album photo qui est rangé quelque part dans un placard. Est-ce que vos enfants pourront dire la même chose dans 30 ans? »
Ce matin, dans ma chronique dans le Journal de Montréal, je m’interroge sur ce que nous aurons comme souvenir dans le futur. Elle est disponible jours sur Pressdisplay.
Le billet de Martin Benoit dont il est question dans le texte est ici: La pérennité des fichiers et des négatifs photo.
Internet. La chance de se faire découvrir par le monde entier. La possibilité d’avoir une vitrine publicitaire à très peu de frais. La puissance du web séduit les photographes, mais elle en pousse certains à tourner les coins ronds. À manquer d’éthique. À tricher. À carrément voler. À vouloir mettre leur carrière sur l’accélérateur, certains sont carrément rentrés dans un mur. Ils n’en ont plus, de carrière.
La suite de ma chronique publiée dans le Journal de Montréal est disponible sur Pressdisplay.
L’enregistrement que le photographe Jonathan Beaupied a réalisé et dont il est question est toujours sur Youtube. La voici:
Sur le blogue photo du Journal de Montréal, je fais le lien entre le selfie de Barack Obama, celui qui a fait la « une » du New-York Post, et d’une étude américaine sur la photo et la mémoire. Génération Selfie.