Faire un contrat pour la moitié de notre soumission, ou rester à la maison et faire 0$?

Lorsqu’on débute en photo, lorsqu’on essaie de payer notre loyer et notre épicerie avec notre caméra, il est très difficile de dire « non ». Mais le jour où on préfère faire 0$ plutôt que d’aller chercher un montant que nous jugeons insuffisant, c’est le jour où on commence à se faire confiance comme photographe et qu’on comprend notre valeur.

Avant d’être photographe professionnel, je voulais être historien. Même si je n’ai jamais terminé mon Bac en histoire, je porte toujours un grand intérêt envers cette discipline. Aujourd’hui, j’aime combiner mon obsession pour la photographie et ma passion pour l’histoire.

Aujourd’hui, dans le Journal de Montréal, je vous parle de l’importance de la photographie comme mémoire collective. La chronique est disponible pour une temps indéterminé sur PressDisplay.

Les liens mentionnés dans la chronique:
After Hiroshima: Portraits of survivors
Hââbré, the last generation
Before they pass away

Le meilleur appareil photo, c’est celui que l’on a toujours avec soi.

Comme les téléphones intelligents nous accompagnent maintenant en toute situation, il est utile de connaître quelques astuces permettant de tirer le meilleur parti de la caméra de votre téléphone.

Ma plus récente chronique est disponible de façon permanente sur la zone VIP du Journal, ou pour une durée indéterminé sur Pressdisplay

Chronique-28-aout

Cela vous est déjà arrivé, j’en suis sûr. Vous partez en vacances et ne voulez pas perdre de temps à trouver les plus bucoliques endroits à immortaliser en pixels. Vous faites un voyage spécialement dédié à la photographie, mais vous désirez prendre des clichés hors du circuit touristique habituel de votre destination. Vous cherchez un décor précis comme, par exemple, un endroit glauque et rempli de graffiti pour une séance photo avec une jolie modèle.


Dans la version papier du Journal de Montréal de ce matin, je vous présente ShotHotSpot.com, un très pratique outil de repérage utile autant pour les photographes amateurs et professionnels.

C’est le mathématicien Émile Borel qui aurait inventé le paradoxe des singes savants en 1913. selon cette théorie, il suffit de donner un nombre infini de machines à écrire à un nombre infini de singes et, en tapant au hasard assez longtemps sur les touch

Si Émile Boret était notre contemporain, il aurait peut- être utilisé une autre métaphore. Par exemple, il aurait pu dire: « Laissez les voitures de Google Street View circuler assez longtemps partout dans le monde en prenant des photos de manière automatisée et vous finirez par obtenir des chefs- d’oeuvre. »

Ma plus récente chronique publié dans la version papier du Journal de Montréal est disponible via PressReader pour un temps indéterminé.

Journal-de-Montreal-July-21-2014


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