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L’ajout d’un logo ou d’un filigrane de texte sur une photo n’est pas une défense assurée contre ceux qui voudraient utiliser vos photos sans votre consentement, mais c’est à tout le moins un premier rempart de protection. De plus, si le fautif recadre la photo pour le retirer, cela démontre l’intention malveillante si vous désirez poursuivre celui qui a violé votre droit d’auteur.
Comment automatiser l’ajout de ce logo ou filigrane sur une photo? Sur YouTube ou ailleurs sur le web, plusieurs tutoriels existent expliquant la procédure, mais tout cela est en anglais à 95%. C’est probablement pour cela que cette question revient souvent dans les forums ou groupes Facebook reliés à la photographie. J’ai donc créé deux vidéos vous montrer comment procéder.
Ces vidéos sont disponibles en version «full-HD». Si vous avez de la difficulté à bien voir, visionnez-les directement sur YouTube en plein écran.
J’aime beaucoup Derek Halpern. Dans son dernier vidéo, il explique pourquoi « être étrange » dans un contexte d’affaires peut être une chose qui rapporte. Être différent vous rend mémorable. Les gens se souviennent de vous comme étant « celui qui… »
Pour les photographes amateurs, Facebook est un magnifique outil pour montrer ses réalisations à son réseau d’amis. Pour les photographes professionnels, c’est une belle façon d’aller chercher de nouveaux clients. Voici comment optimiser son utilisation.
Une chose qui est souvent oubliée par les photographes qui veulent se lancer en affaire, c’est justement d’obtenir de bonnes connaissances en affaire… Il ne suffit pas de savoir faire de belles photos. Ouvrir son studio, commencer à facturer des clients, c’est ÊTRE en affaire. Lorsqu’il n’y a plus le salaire de la «job de jours» qui entre aux deux semaines pour compenser la mauvaise gestion de la business photo, il faut savoir ce que l’on fait. Et si l’on veut un jour quitter la «job de jour» pour vivre pleinement de la photo, il faut savoir ce que l’ont fait. Sinon, c’est la faillite.
Les écoles de photo ne donnent pas vraiment de cours sur le lancement d’entreprise, et les formations sur le lancement d’entreprise ne donnent aucune information spécifique concernant le domaine de la photographie ou de la gestion d’un studio. Il faut donc se tourner vers les livres. Dans ce domaine, le marché est trop petit pour justifier des traductions et il faut donc pouvoir lire en anglais…
Il y a quelques mois, dans ma chronique du Journal de Montréal, je parlais de ma peur de voir un trou noir photographique: perdons-nous la mémoire? Dans une excellente présentation TED, Kevin Gilbert reprend ce thème dans The Lost Generation.