À peu près toutes les polices d’assurance prêt, en cas de maladies graves ou d’invalidité et en cas de décès vont EXCLURENT spécifiquement la compensation pour les blessures, mutilations, ou décès si l’accident s’est produit durant une manifestation ou une émeute. C’est valide ici comme à l’étranger.
Pour les photographes, ces exclusions ont des conséquences encore plus importante. En effet, il est à peu près certain que la compagnie qui vous assure ne paiera pas en cas de bris matériel survenu lors d’une manifestation.
On l’a vue souvent par le passé dans ce genre d’événement, les photographes sont régulièrement attaqués, autant par les manifestant que par la police. Le risque d’avoir une caméra brisée ou de se faire blesser est réel, plus que dans n’importe quel type d’assignation. Êtes vous capable de survivre financièrement 2 mois sans revenu si vous vous faites casser un bras? Êtes-vous capable de sortir 5000$ de votre compte pour remplacer votre caméra?
YFM (Your Foodservice Manager) magazine, mon client, suggérait des photos très classique de Christian Veilleux, co-propriétaire du restaurant La Bête Steakhouse: dans la cuisine devant ses cuisiniers au travail. Mais voilà, Veilleux est tout sauf conventionnel pour ce qui est de l’image qu’il veux projeter sur ses photos.
À la place de l’image « proprette », il voulait faire un peu trash. Et un peu trash nous avons fais!
Il fallait bien que cela arrive un jour: j’ai gouté à ma première rasade de gaz lacrymogène. Le premier service a été trompeur: “OK c’est pas si pire, je peux m’approcher”.
Le deuxième m’est rentré directement dans la gorge et les yeux et je me suis ramassé à genoux à cracher et essayer de respirer. Merci aux deux manifestants qui m’ont gentiment donné de l’eau et du jus pour m’aider à faire passer mon “repas”…
Dans une autre vie, j’étais programmeur web. Juste avant l’obtention de mon diplôme, j’ai fais un stage dans une boîte qui travaillais sur la refonte du site internet de l’INO (Institut National d’Optique). J’y ai moi-même travaillé dans le cadre de mon stage.
Depuis mon changement de carrière, je ne sais trop combien de “bébé” d’entreprise en optique et photonique issu de l’INO que j’ai eu à photographier, mais il y en a eu plusieurs!
Pour le Financial Post, c’est Optosecurity que j’ai eu la change de découvrir. Une entreprise de classe mondiale que je ne connaissais pas et qui est promis à un bel avenir. À lire si vous comprenez l’anglais.
Au niveau technique, j’ai fermé les lumières du local et j’ai ajusté mon exposition en fonction des écrans d’ordinateur. J’ai mis un “snoot” sur un flash pour éclairer très précisément le logo en arrière-plan, et un autre avec un “grid” pour un “hard light” contrasté et localisé sur Éric Bergeron, PDG de l’entreprise. Eric Bergeron, CEO of OptoSecurity, poses in front of a machine that can detect dangerous liquid used for explosive at the company Headquarters in Quebec City Tuesday February 7, 2012. OptoSecurity develops next-generation detection security software used in airport or other sensitive area. Photo by Francis Vachon for National Post
Eric Bergeron, CEO of OptoSecurity, poses in front of a machine that can detect dangerous liquid used for explosive at the company Headquarters in Quebec City Tuesday February 7, 2012. OptoSecurity develops next-generation detection security software used in airport or other sensitive area.
