Maxime Robin

Pour le quotidien Le Devoir, j’ai photographié les acteurs Maxime Robin et Noémie O’Farrell de Théâtre Premier Acte. À noter que leur pièce parlera de photojournalisme et la description de photosensible sur le site de Premier Acte me donne le goût d’y assister.

Noémie O'Farrell
Noémie O’Farrell
Noémie O'Farrell
Noémie O’Farrell
Noémie O'Farrell et Maxime Robin
Noémie O’Farrell et Maxime Robin
Noémie O'Farrell et Maxime Robin
Noémie O’Farrell et Maxime Robin
Noémie O'Farrell et Maxime Robin
Noémie O’Farrell et Maxime Robin
Noémie O'Farrell et Maxime Robin
Noémie O’Farrell et Maxime Robin
Maxime Robin
Maxime Robin

Edifice Promutuel in Quebec city
Je ne mets pas beaucoup de l’avant ce côté de mon travail, mais je fais aussi de la photographie aérienne. Pour plusieurs, la location d’un hélicoptère (pour une heure minimum) est un peu prohibitive. Il y a une autre façon de faire.

Si vos besoins sont relativement simples, par exemple quelques photographies générales de votre commerce ou industrie, vous pouvez réserver un vol de groupe. J’accumule les clients, qui ne paient qu’une fraction de la location, et lorsque la quantité le justifie, je fais mon vol.

Si vous êtes capable d’attendre un peu qu’un vol soit programmé et que votre budget est limité, c’est votre meilleur choix. Pour tous les détails, contactez-moi via la colonne de gauche.

Francis-Vachon-Selfie
Ce matin, j’étais en onde avec Louis Lacroix (en remplacement de Paul Arcand) au 98,5 à Montréal. En partant du maintenant célèbre selfie du singe macaque, nous avons abordé la problématique du droit d’auteur. L’audio est disponible ici.

Pour illustrer ce billet, je n’avais pas le choix d’y aller moi même d’un selfie!

J’avais aussi chroniqué sur le sujet dans le blogue photo du Journal de Montréal: le singe et son selfie: qu’en est-il vraiment?

Une chose qui est souvent oubliée par les photographes qui veulent se lancer en affaire, c’est justement d’obtenir de bonnes connaissances en affaire… Il ne suffit pas de savoir faire de belles photos. Ouvrir son studio, commencer à facturer des clients, c’est ÊTRE en affaire. Lorsqu’il n’y a plus le salaire de la «job de jours» qui entre aux deux semaines pour compenser la mauvaise gestion de la business photo, il faut savoir ce que l’on fait. Et si l’on veut un jour quitter la «job de jour» pour vivre pleinement de la photo, il faut savoir ce que l’ont fait. Sinon, c’est la faillite.

Les écoles de photo ne donnent pas vraiment de cours sur le lancement d’entreprise, et les formations sur le lancement d’entreprise ne donnent aucune information spécifique concernant le domaine de la photographie ou de la gestion d’un studio. Il faut donc se tourner vers les livres. Dans ce domaine, le marché est trop petit pour justifier des traductions et il faut donc pouvoir lire en anglais…

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