À la fin du mois d’août, j’ai pu enfin prendre quelques jours de vacances avec la famille et c’est au zoo sauvage de Saint-Félicien que nous sommes allées. J’en ai évidemment profité pour apporter mon appareil photo pour rapporter quelques souvenirs et, surtout, garnir ma banque d’images.
En prenant des images dans un jardin zoologique, la base est d’isoler le sujet pour ne pas voir les cages, clôtures, visiteur et tout autre élément « montrant » que l’animal n’est pas en pleine nature. Le Zoo Sauvage de Saint-Félicien nous facilite beaucoup la tâche à ce sujet. C’est un endroit magnifique.
Entrer dans la maison d’un inconnu. Se présenter. La mettre en confiance. Chercher un concept, une idée.
Créativité sur demande.
Parfois, cela se fait tout seul. Ce fut le cas avec l’auteure Erika Soucy. Tout de suite en entrant, accroché sur le mur, il y avait ça. Avec un sujet aussi naturel devant la caméra, j’avais ma photo.
It is the most popular door that you have never heard of. Oblivious to the locals, a boring-looking door in the Quebec City neighborhood of Le Petit Champlain has become extremely popular with Asian tourists who make lines to be photographed in front of « Goblin’s door. »
What Quebecers don’t know is that the « red magic door » plays a major part in the immensely popular Korean TV show Guardian: The Lonely and Great God (also known as Goblin: The Lonely and great God).
According to Wikipedia:
Overseas filming mainly took place in Quebec City, Canada in October, featuring locations such as the Château Frontenac, Parc du Bastion-de-la-Reine (the Yoo family cemetery), Petit Champlain (Goblin’s door to Canada), and the Fontaine de Tourny. The red door, which in reality is the emergency exit of the Théâtre Petit Champlain, and other sites in Quebec City associated with the show have begun to attract numerous fans of the series.
Journalist Isabelle Porter and I went on assignment for Le Devoir what it was all about: La Porte magique de Québec.
Mettre mon réveille à 3h30 le matin, ce n’est jamais bien plaisant. Sauf lorsque c’est pour accompagner Isabelle Porter en reportage.
Il est 4 h 45 du matin. C’est l’heure à laquelle il faut arriver pour ne rien manquer au marché aux puces de Sainte-Foy les dimanches d’été. Pendant que le reste de la ville dort, ils sont 200 à s’activer autour des tables dans l’espoir de réaliser des affaires en or. (suite du texte sur Le Devoir)
Photographier un marché aux puces à 4h du matin. Il y a des photos qui se font tout seules.
Cocasserie: un collègue des médias, que je n’avais pas reconnu sur le coup, a failli se retrouver sans le savoir dans le reportage alors qu’il accompagnait sa conjointe dans sa vente annuelle de « vieilles bébelles ». Ma grosse barbe m’a trahi, c’est lui qui s’est rendu compte de ma présence.
En photographie de presse, les portraits se font souvent dans des lieux non choisis, souvent moches, avec peu de temps pour les réaliser. Voici ce que j’ai fait récemment dans une de ces situations.
Lors du départ des Grands Voiliers à la fin du Rendez-vous naval 2017, j’étais sur le Fleuve St-Laurent pour photographier les deux remorqueurs du Groupe Océan.
Le but était de mettre en valeur les remorqueurs lorsqu’ils utilisaient leurs puissants canons à eaux au travers des magnifiques bateaux avec, si possible, la ville de Québec en arrière-plan. Voici quelques photos que j’ai réalisées.