Quelle assignation rigolote que j’ai eue pour le mensuel Québec Science ! Les Neurones atomiques offrent des ateliers d’animation scientifique dans les écoles et j’ai eu le bonheur de photographier l’une d’entre elles. L’excitation des enfants est à son comble et tout cela donne des photos magnifiques. C’était à ce moment une des premières « job » pour mon Canon EOS-R qui n’a pas cessé de me surprendre depuis.
Une courte mais sympathique rencontre avec Guy Bélanger dans Limoilou.
C’est bien simple. Tout en haut, à l’harmonica, celui du blues et non de la polka, les cadors actuels s’appellent Billy Branch, Jerry Portnoy, Joe Nosek, Kim Wilson et, bien évidemment, le vieux Charlie Musselwhite. Qui d’autre ? Guy Bélanger et personne d’autre ! Certain comme sûr ? Le choix vous appartient. On insiste : Bélanger n’est pas en dessous des susnommés, ni au-dessus, mais à leurs côtés ou parmi eux.
Il n’y a pas une semaine qui passe sans que le monde des photographes se soulève contre un nouveau concours photo en raison des règlements complètement stupide, volant le droit d’auteur des photographe. Voici (finalement) ma réponse à ce phénomène…
Cité dans l’article, l’avocat Gabriel St-Laurent précise que: « dès que le tatouage fait preuve d’originalité et qu’il est fixé sur la peau, il devient une oeuvre protégée par le droit d’auteur. Ce faisant, l’auteur de l’oeuvre est tributaire de droits. »
Si la photo n’est pas utilisée dans un cadre commercial ou si ce sont des portraits personels, ce n’est pas un problème. Mais si l’image sert à vendre un produit ou un service, l’entreprise utilisant votre photo pourrait se faire poursuivre par le tatoueur.
Est-ce que cela arrive pour vrai? Oui, selon le Devoir.
« La semaine dernière, un juge de Californie a décidé d’entendre la plainte du tatoueur Kevin Brophy Jr. parce qu’une photo d’une de ses oeuvres montrant un tigre et un serpent réalisée sur le dos d’un homme apparaît en couverture de l’album Gangsta Bitch Music, Vol 1 de l’artiste Cardi B. Il réclame 5 millions $US pour « violation de son image publique ».
C’est pour cela, par exemple, que « L’Association des joueurs de la Ligue nationale de football et les agents de joueurs recommandent à leurs membres et clients d’obtenir les droits de reproduction des encrages avant de les faire réaliser. »
Qu’est-ce que cela veut dire pour vous? En tant que photographe, ce n’est pas vous qui serez poursuivi. Ce serait plutôt votre client utilisant vos photos. Cependant, en tant que photographe professionnel, il est de votre responsabilité de faire tout ce qui est en votre pouvoir pour protéger votre client. Cela inclut de l’informer des risques potentiels si le mannequin choisi pour la campagne publicitaire a des tatouages apparents.
Il y a des trucs qui vieillissent moins bien que d’autres. Comme cette pub télé où Vivitar essayait de convaincre que le futur, c’était la pellicule. C’est que les caméras numériques avec leur fils et leurs logiciels, c’est vraiment compliquées.
La Manif La vague bleue était un rassemblement de militants identitaires dans la mouvance de La Meute, Storm Alliance, etc. Il y avait également une contre-manifestation d’Antifa pour essayer de les bloquer. Une courte confrontation entre les deux groupes a eu lieu à la fin de la marche.