Une bonne frousse lors d’un gala de lutte

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Il est juste surprenant que ce ne soit pas arrivé plus tôt. Depuis mon premier gala de lutte en tant que photographe officiel en 2005 et après je ne sais combien de soirées à photographier des gros bonshommes se taper dessus et sauter à quelques pieds de moi, j’ai eu un ma première collision et ma première blessure avec un lutteur. Ce dernier, se projetant dans les câbles, a frappé solidement ma caméra et mon flash, que j’ai reçu sur le nez.

Je ne sais pas si c’est l’âge qui me rend moins rapide à réagir ou si la loi du hasard qui à fait son œuvre, mais voilà. La lutte, c’est vrai (oui! oui!). La photographie, ça peut être dangereux. De l’équipement photo, ça coûte beaucoup d’argent, et une blessure importante peut sérieusement faire du tort à un photographe pigiste.

Ici, pas de blessure autre qu’une bonne coupure. Par contre, la lentille que je viens d’envoyer en réparation a probablement été sérieusement « affaiblie » à ce moment-là.

Cela me permet de vous rappeler deux billets que j’ai écrits sur le sujet:

Couvrir une manifestation: Aucune assurance pour vous ni pour votre matériel.

Photographes: que ferez-vous lorsque vous serez malade ou blessé sérieusement?

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