Quand voler une photo n’est pas assez
Le monde de la photo est en crise. Les agences ferment. Les contributeurs aux banques d’images ne font parfois que quelques sous de redevance par licence vendue. C’est dans ces circonstances que deux entreprises pensaient avoir trouvé ce mois-ci une nouvelle technique pour faire de l’argent facile dans le domaine de la photo.
Elles s’y sont prises en ayant recours à trois étapes extrêmement simples.
- Elles ont utilisé une photographie sans l’autorisation de son auteur.
- Elles ont attendu que le photographe découvre la faute et exige les droits sur son oeuvre.
- En guise de représailles, elles ont poursuivi le photographe.
Malheureusement, ils n’avaient pas prévu la 4e étape: l’indignation générale de la communauté web des photographes.
La suite de ma chronique publiée ce matin dans la version papier du Journal de Montréal est disponible pour une trentaine de jours sur PressDisplay.
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