Des courses d’accélération de camions. Rien qu’au nom, on comprend que ce n’est pas l’activité la plus intellectuelle. En cette ère de lutte contre les changements climatiques, des gros camions qui crachent de la grosse boucane noire, c’est un peu nono. Cependant, tous les petits garçons du monde qui ont joué avec des « Tonkas » étant petits ne peuvent s’empêcher de regarder, fascinés et ébahis.
Dans Le Devoir: Un parfum de diesel. Parce que oui… Ça m’a pris 2 jours avant de ne plus avoir un petit mal de coeur en raison des émanations…
D’un œil extérieur et nord-américain, se baigner en plein hiver semble une abomination sans nom, une torture auto-imposé incompréhensible. Cependant, il s’agit d’une tradition datant de plusieurs siècles en Europe, particulièrement il va sans dire, dans les pays nordiques. Aujourd’hui, des clubs existent en Europe, permettant que l’activité soit faite en groupe de manière sécuritaire.
Jusqu’à récemment, seuls quelques individus considérés comme des hurluberlus par leurs proches pratiquaient cette activité au Québec, et elle se faisait presque en cachette pour ne pas attirer le ridicule sur eux. La situation a cependant changé depuis 10 ou 15 ans alors que l’enseignement du néerlandais Wim Hof se popularise partout dans le monde.
Hof a mis sur pied un ensemble de principes de développement personnel basé sur des exercices de respiration en pleine conscience et à l’acclimatation au froid. Cette acclimatation se fait d’abord par des douches froides et, lorsque le corps s’y est habitué, par des immersions complètes dans des bains d’eau froide ou des plans d’eau en nature.
Ce qui est maintenant connu comme « la méthode Wim Hof » est pratiquée partout dans le monde et est directement responsable de la nouvelle popularité de cette activité.
Un peu partout au Québec, des groupes de baigneur joignent leur force pour creuser et entretenir des trous, aider les nouveau adeptes, et pratiquer l’activité de la manière la plus sécuritaire possible.
« Les briseurs de glace » se réunissent ainsi tous les dimanches dans un lac facilement accessible mais gardé secret car privé. C’est un des défis des adeptes de l’eau froide: trouver un endroit public, légal, accessible, et sécuritaire.
Ce reportage a été originellement publié dans Le Devoir:
Cette nuit, on change l’heure. Pour certains, cela représente un peu plus de travail que pour d’autres. André Viger, l’horloger de l’Assemblée nationale du Québec par exemple, devra ajuster les aiguilles des 23 horloges de la maison du peuple.
S’occuper de ces horloges, c’est son travail (entre autres). Depuis plus de 40 ans, il est responsable de bichonner ces pièces historiques, ce qui inclut le remontage du mécanisme tous les mardis. Je l’ai suivi dans son manège il y a quelques semaines pour Le Devoir qui en fait une pleine page photo aujourd’hui.
Je suis assez heureux du résultat final de ce sujet que j’ai proposé au Devoir, qui le décline bien en évidence au dos du premier cahier du samedi.
Les remorqueurs de Groupe Océan facilitent l’amarrage de bateaux dans de nombreux ports d’Amérique du Nord. J’ai eu le plaisir de documenter les manœuvres en équipe de deux de leurs remorqueurs lors de l’arrivé d’un vraquier au port de Québec. Fascinant! Le tout est publié en en pleine page du Devoir ce matin.
À la fin du mois de juillet, je suis allé passer 5 jours en Gaspésie avec une journaliste de Devoir pour une série d’histoire qui seront publiés sous peu. La direction m’a aussi demandé d’en profiter pour faire un reportage photo de la péninsule gaspésienne. Voici le résultat.
L’été en Gaspésie, tel que le reportage est décliné dans l’édition papier: