Mystérieux portrait de l’auteur Hans-Jurgen Greif
Pour le journal Le Devoir, je suis allé photographier l’auteur Hans-Jurgen-Grief pour la sortie de son 14e livre. Après avoir fait quelques portraits très classiques, j’ai voulu faire un peu plus jazzé.
Il m’a longuement parlé de Complots à la cour des papes, son dernier livre. L’article du Devoir en parle en ces mots:
« Les complots sont aussi vieux que le monde », rappelle Hans-Jürgen Greif dans l’avant-propos de ses érudits Complots à la cour des papes. Rien n’est plus vrai. L’écrivain a choisi ici trois des plus célèbres complots de l’Histoire, se déroulant entre le début et l’apex de la Renaissance italienne, et qui tous avaient pour objectif de liquider un pape ou d’éliminer un ennemi du pape. « L’expérience prouve que celui qui n’a jamais confiance en personne ne sera jamais déçu », a écrit Leonardo da Vinci dans ses Carnets.
C’est alors que cet étrange objet dans sa bibliothèque a attiré mon attention. Un flash direct pour éclairer son visage, mettant par le fait même en silhouette l’avant-plan mystérieux, répliquait bien l’idée d’intrigue, de complot, et de jeux de pouvoir.
Le tout a reçu une bonne visibilité dans la version papier.
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