La photographie comme mémoire collective

Avant d’être photographe professionnel, je voulais être historien. Même si je n’ai jamais terminé mon Bac en histoire, je porte toujours un grand intérêt envers cette discipline. Aujourd’hui, j’aime combiner mon obsession pour la photographie et ma passion pour l’histoire.

Aujourd’hui, dans le Journal de Montréal, je vous parle de l’importance de la photographie comme mémoire collective. La chronique est disponible pour une temps indéterminé sur PressDisplay.

Les liens mentionnés dans la chronique:
After Hiroshima: Portraits of survivors
Hââbré, the last generation
Before they pass away

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